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BROADCAST TITLES

Back to my Roots #2 – Slow Jam Session by Olivier Figuet

Un slow jam est une musique aux influences rythmiques et blues et soul. Les jams lents sont généralement des ballades R&B ou des chansons downtempo, et sont pour la plupart au son doux avec un contenu lyrique très émotionnel ou romantique. Exemple : Billy Paul – Mr & Mrs Jones Ce soir sur www.radioshic.com, en souvenir de ses années Londoniennes, notre Dj Olivier Figuet nous embarque dans une exploration de l’univers SLOW JAM.

HASH COOKIE JAZZ by Olivier

L’histoire du jazz et la consommation de cannabis sont étroitement liées. Au début du 20e siècle, les musiciens jazz commencent à jouer dans les maisons de prostitution de Storyville, un quartier rouge de Nouvelle-Orléans. Ils y fument du cannabis – gage, tea, muggles, muta ou Mary Jane – et selon l’histoire, décident rapidement de s’appeler les vipers en raison du sifflement distinct du fumeur qui tire avec force sur un reefer (joint). Beaucoup de grands noms de la scène jazz – Louis Armstrong, Thelonious Monk, Count Basie et Duke Ellington – affectionnent particulièrement le cannabis, autant pour sa capacité à élargir et inspirer l’esprit que pour son pouvoir relaxant. Une fois stone, le temps se ralentit et la marijuana permet de jouer plus librement, offrant de meilleures sensations aux musiciens. Elle devient même pour la première fois un thème à part entière de chansons, comme en témoigne le titre “The Reefer Man” de Cab Calloway au tout début des années 1930. La Marijuana faisant de plus en plus d’émules dans les clubs de jazz et en dehors, les autorités Américaines (dont le fameux Harry J. Anslinger. Commissaire aux narcotiques du département du Trésor Américain) affichant une grande méconnaissance du produit, estiment que la beuh n’est qu’un moyen pour séduire les jeunes Blanches dans les clubs de jazz. La weed commence à être interdite dans plusieurs États jusqu’à ce que la loi de 1937 – qui en fait un stupéfiant de premier plan – ne soit adoptée. RAP et HASH Après des années de répression ininterrompue, c’est le hip-hop qui, dans les années 1980, va reprendre le flambeau. Alors que la cocaïne et ses différents dérivés (le crack, entre autres), au même titre que l’héroïne, font des ravages dans les rues des grandes villes,…